
Tant les postiers que les usagers ont beaucoup de soucis à se faire à l'avenir, c'est pourquoi il faut se mobiliser pour essayer de contrer ce nouveau mauvais coup.
Pour commencer il faudrait aller voter à la consultation nationale pour un débat public et un referendum sur le service postal public et de proximité.
Le SAMEDI 3 octobre 2009
Le SAMEDI 3 octobre 2009
dans vos bureaux de poste, dans de nombreuses mairies, dans la plupart des gares.
Pour plus d'informations cliquer ici >> : http://www.appelpourlaposte.fr/
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Le texte appellant à voter NON du Comité national contre la privatisation de La Poste :
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Actuellement, la Poste est un établissement public. Premier service public de proximité, son rôle est crucial pour la collectivité et plus particulièrement en période de crise.
C'est pourtant le moment choisi par le Président de la République, le gouvernement et la direction de la Poste pour transformer La Poste en société anonyme.
Que le capital soit détenu à 100% par des capitaux publics ne change rien à l'affaire. Chaque fois que l'Etat a effectué ce type d'opération, a fait entrer des capitaux privés dans la Société Anonyme, (France Telecom, EDF, GDF....), avec des conséquences immédiates : réduction de la qualité du service, suppressions massives d'emploi, augmentations tarifaires, priorité à la satisfaction des action Inaires.
La transformation en société anonyme constitue la première étape d'une privatisation programmée de La Poste.
Gouvernements et direction de la Poste ont dégradé la qualité du service postal en limitant les investissements répondant à l'intérêt général. Depuis 2002, plus de 6000 bureaux de poste sur 17 1000 ont été "transformés" et plus de 50 000 emplois supprimés. La population est la première victime de ce désengagement !
Cela se traduit par l'espacement des tournées, les délais croissants de livraison du courrier, les réduc Itions d'horaires, l'allongement des files d'attentes quand le bureau de poste n'a pas été carrément supprimé.
Une privatisation de la Poste entraînerait une détérioration encore plus considérable du service rendu aux usagers la rentabilité maximale immédiate et les impératifs financiers auraient priorité sur l'intérêt général.
Un Comité national regroupant plus de 50 organisations a été créé en septembre 2008, autour d'associations, de syndicats et de partis politiques a demandé au président de la République d'organiser un référendum sur l'avenir de La Poste comme il en a la possibilité. Sans réponse à ce jour.
C'est pourquoi, face à la menace de privatisation de la Poste, le samedi 3 octobre 2009, lors de la consultation nationale organisée près de chez vous, vous exprimerez votre refus en votant massivement NON au projet gouvernemental.
Actuellement, la Poste est un établissement public. Premier service public de proximité, son rôle est crucial pour la collectivité et plus particulièrement en période de crise.
C'est pourtant le moment choisi par le Président de la République, le gouvernement et la direction de la Poste pour transformer La Poste en société anonyme.
Que le capital soit détenu à 100% par des capitaux publics ne change rien à l'affaire. Chaque fois que l'Etat a effectué ce type d'opération, a fait entrer des capitaux privés dans la Société Anonyme, (France Telecom, EDF, GDF....), avec des conséquences immédiates : réduction de la qualité du service, suppressions massives d'emploi, augmentations tarifaires, priorité à la satisfaction des action Inaires.
La transformation en société anonyme constitue la première étape d'une privatisation programmée de La Poste.
Gouvernements et direction de la Poste ont dégradé la qualité du service postal en limitant les investissements répondant à l'intérêt général. Depuis 2002, plus de 6000 bureaux de poste sur 17 1000 ont été "transformés" et plus de 50 000 emplois supprimés. La population est la première victime de ce désengagement !
Cela se traduit par l'espacement des tournées, les délais croissants de livraison du courrier, les réduc Itions d'horaires, l'allongement des files d'attentes quand le bureau de poste n'a pas été carrément supprimé.
Une privatisation de la Poste entraînerait une détérioration encore plus considérable du service rendu aux usagers la rentabilité maximale immédiate et les impératifs financiers auraient priorité sur l'intérêt général.
Un Comité national regroupant plus de 50 organisations a été créé en septembre 2008, autour d'associations, de syndicats et de partis politiques a demandé au président de la République d'organiser un référendum sur l'avenir de La Poste comme il en a la possibilité. Sans réponse à ce jour.
C'est pourquoi, face à la menace de privatisation de la Poste, le samedi 3 octobre 2009, lors de la consultation nationale organisée près de chez vous, vous exprimerez votre refus en votant massivement NON au projet gouvernemental.